Gravel – Sylvain Chavanel : « C’est être au plus près de la nature

Gravel – Sylvain Chavanel : « C’est être au plus près de la nature

Sylvain, à l’instar de votre carrière, votre nouvelle vie rime également toujours avec le vélo. Le sport, également et plus généralement, berce votre quotidien depuis que vous vous êtes retiré du peloton. Racontez-nous…
Après l’arrêt de ma carrière, je me suis lancé dans le triathlon en tant qu’amateur par l’intermédiaire de personnes que je connaissais. Mais sans être dans l’extrême au niveau des charges d’entraînement comme j’ai pu connaître. C’est vraiment de l’amateurisme et puis comme ça, ça évite de faire toujours la même chose. Un jour je vais faire de la natation, un autre, je vais courir en fonction de mon humeur. J’ai également été ambassadeur ASO sur le Tour de France et sur le Paris-Nice. J’étais avec les invités d’ASO et j’ai fait des inside sur le vélo auprès des partenaires. J’ai aussi écrit un livre sur mon parcours (« Toute une histoire, toute mon histoire », Mareuil Editions). Maintenant, je suis sur les courses de vélo par l’intermédiaire de mon fils. Il court chez les cadets, sur route. Je l’emmène sur les courses tous les week-ends. Ça commence à être un âge intéressant.

Et puis il y a cette histoire d’amour avec le gravel…
Le Gravel est venu très récemment par l’intermédiaire d’un projet que j’ai mis en place sur Châtellerault (NDLR : Le Gravel Fever Festival), en collaboration avec la Fédération Française de Cyclisme et le groupe Hopscotch. Ils se sont rapprochés de moi pour parler de ce projet-là, parce que je suis Châtelleraudais. Moi, j’étais plus sur le VTT et le Titan du Désert, que je faisais depuis cinq ans. Bien sûr, en tant que natif du Grand Châtellerault, quand on m’a proposé le projet, j’ai tout de suite répondu oui. J’ai dit que j’étais là pour les aider notamment au niveau des parcours, parce que le terrain, je le connais. Et ça simplifie quand même la tâche d’avoir une personne qui connaisse le terrain.

Connaissiez-vous déjà le gravel ou avez-vous découvert en marge de l’organisation de ce projet ?
Je connaissais, mais je n’avais jamais pratiqué. J’ai un frère qui en a fait avant moi, il m’a dit que c’était bien. Moi je prenais mon VTT, je trouvais ça équivalent. On fatigue plus en VTT qu’en gravel. Le gravel ressemble plus à un vélo de route, donc on est sur des vitesses un peu plus élevées que le VTT. C’est là où ça me convient mieux aussi. C’est un mix entre le VTT et la route, ça n’a rien à voir avec la route. Ça reste une discipline où ça roule, sur des chemins roulants. On ne cherche pas forcément le terrain hyper technique comme on peut le faire en VTT, avec beaucoup de descentes. Une sorte de trail en vélo ? Oui, c’est être vraiment au contact de la nature, dans les moindres recoins. Et puis on va beaucoup plus loin en gravel qu’en VTT.

Avez-vous déjà eu l’occasion de tester ?
Oui. Comme je suis dans le projet et que je travaille sur les parcours – je les ai tous tracés – je prenais mon gravel et je partais en faire. Mais je n’ai jamais fait encore un évènement avec un gravel. Un vrai plaisir ? Premièrement, c’est sécurisant car nous ne sommes pas au contact des automobilistes. On voit énormément d’accidents mêlant voitures et cyclistes. On en voit de plus en plus dans les faits divers. Là, nous sommes vraiment sur des chemins où normalement, il n’y a aucune voiture ou alors sur des routes en asphalte peu fréquentées.

Comment vous y êtes-vous pris pour dresser les tracés, sachant que c’est une région que vous connaissez par cœur ?
Oui, je connais l’endroit par cœur. J’aime bien aller au feeling mais j’aime aussi étudier sur les cartes. Je travaille aussi avec un GPS que j’avais reçu d’un partenaire espagnol, mais il existe également d’autres applications. Ici, nous sommes sponsorisés par OpenRunner. On peut bien travailler sur ordinateur. Cela fait gagner du temps et ensuite, on peut faire une ébauche. Après, on valide par l’expérience du terrain, on prend son vélo et on teste.

« Il y a 47 communes dans le Grand Châtellerault, j’en ai couvert 27 »

Comment va se dérouler ce Gravel Fever ?
L’évènement aura lieur sur trois jours : les 20, 21 et 22 octobre. Ça commence le vendredi par l’ultra, le longue distance de 400 kilomètres. Pour ce tracé-là, le départ se fait au vélodrome depuis le siège de la Fédération Française de Cyclisme à Saint-Quentin-en-Yvelines. Ils (les participants) vont relier Châtellerault par les chemins, la route… Ils vont faire Paris-Châtellerault, ça fait 400 kilomètres, c’est la plus grande distance. Il y aura aussi le tracé du 120 kilomètres le samedi matin, le 160 kilomètres le dimanche. Et aussi le 80 kilomètres en duo, le 50 kilomètres et le 25 kilomètres. Il y a vraiment beaucoup de circuits mais ce n’est pas moi qui ait décidé d’en faire autant. C’est davantage Jean-Christophe Savignoni, qui est aussi dans le projet. Moi, j’étais vraiment là pour tracer les parcours et finaliser les circuits. Plus exactement, j’ai fait la fin du tracé du 400 kilomètres. En revanche le début, ce n’est pas moi.

Quand on parle de vous, on vous associe souvent à la Vendée. Mais vous êtes un Châtelleraudais pur jus en réalité…
Je suis né à Châtellerault donc je suis Châtelleraudais. J’ai commencé le vélo au vélo club châtelleraudais. Il y avait deux clubs dans la ville : la pédale châtelleraudaise et le vélo club châtelleraudais. C’est un club qui a fusionné en 1994, il me semble. J’ai commencé le vélo en 1993, j’ai fait toutes mes années amateurs à Châtellerault. Après, j’ai fait un an à Vendée U et c’est là que j’ai atterri en Vendée, avant d’arriver chez les professionnels. Malgré mon parcours professionnel, j’ai toujours habité à Colombiers, à neuf kilomètres de Châtellerault. Ma femme est originaire de ce coin-là. Je n’ai jamais déménagé, j’ai toujours été ici. On a fait construire en 2004. Ça va faire vingt ans qu’on habite ici, nous sommes vraiment enracinés ici.

Ce festival doit donc vous tenir à cœur… 
Châtellerault manque parfois d’animations. Là, ça va amener une animation sur trois jours, avec notamment la soirée du samedi soir; qui sera animée par un DJ. Ca va amener une animation en ville, faire connaître le territoire et le Grand Châtellerault aux participants…

Avez-vous attaché beaucoup d’importance à la mise en avant du patrimoine de la région au moment de dessiner les tracés ?
Il y a 47 communes dans le Grand Châtellerault, j’ai couvert 27 communes. C’est pas mal. Le but, c’est est de passer près d’un patrimoine. Ca peut-être un lavoir, une église, une maison en pierres charmante, un château, des pavés… Le but est de mettre en avant ce qu’on a dans nos campagnes. Je crois que Châtellerault veut être une destination pour le vélo. C’est ce que j’ai voulu montrer.

Pourquoi avez-vous retenu tant de paysages variés et de sentiers diversifiés ?
Ce n’est pas moi qui le veux, c’est notre discipline. Le but dans le gravel n’est pas qu’il y ait 85% de routes. Il faut le minimum d’asphalte possible et d’être au plus près de la nature. Normalement, c’est couvert de chemins blancs, gravillonnés et il y a très peu de chemins d’herbe où ça roule très difficilement. C’est important d’amener de la variété dans le parcours. Ça ne peut pas être que du monotrace, que des chemins blancs, que de l’asphalte. Il faut essayer de trouver une bonne balance entre tout ça. Est-ce que j’ai découvert ça ? Non, je connaissais.

« Le plus beau parcours, c’est celui du 160 kilomètres »

Avez-vous rencontré des difficultés ?
C’est toujours un casse-tête de créer des parcours, parce que l’on part de rien. Tu as un point de départ et un point d’arrivée, qui sont tous deux Châtellerault. Après, le but est de couvrir au maximum le Grand Châtellerault. Pour relier les communes, il faut faire avec ce que tu as sous la main aussi. Parfois, je n’avais pas trop le choix. Tu peux aussi tomber sur des secteurs privés. Ca, c’est le genre de surprises que tu découvres une fois que tu as validé les parcours. Il faut donc remodifier derrière. C’est du boulot.

Vous qui connaissez le territoire par cœur, quel parcours recommanderiez-vous pour les cyclistes avertis, un peu chevronnés ?
Selon moi, le plus beau parcours, c’est celui du 160 kilomètres. Tu vas en direction de Pinail, c’est une réserve naturelle protégée, c’est magnifique. Ce sont vraiment de longues lignes droites typiques du gravel, dans des forêts de pin. C’est magnifique. Et ensuite, tu arrives dans le village d’Angles-sur-l’Anglin, qui a été élu plus beau village de France il y a quelques années. Après, tu vas en direction de La Roche-Posay, c’est une station thermale qui a été rachetée par l’Oréal. C’est bien quand tu as des problèmes de peau. Il y a le casino de La Roche-Posay là-bas, c’est sympa. Après, tu reviens par la magnifique forêt de la Guerche. C’est vraiment un très beau parcours. J’ai cru comprendre que le parcours de 120 kilomètres allait fonctionner le plus car ce n’est ni trop long ni trop court. Tous les parcours sont sympas. On passe aussi devant des grottes troglodytes. On part de la forêt de la Guerche, on passe dans des petits villages typiques de la campagne. Des villages sympas où il peut y avoir une boulangerie sympa. Il y a des chemins, des sentiers, de la forêt, puis on finit par la forêt de Châtellerault autour d’un lac. Le tracé du 80 kilomètres en duo est vraiment sympa. En fait, tous les parcours ont un charme.

Organisateur, c’est aussi un métier dangereux. Vous en avez fait l’expérience…
Oui. Lors de ma reconnaissance du tracé de 120 kilomètres en juillet dernier, je me suis cassé trois côtes. C’était une faute d’inattention de ma part, j’ai pris une ornière et le terrain était très sec. J’ai perdu le contrôle de mon vélo et pourtant je n’allais pas vite, je suis tombé à plat ventre.

Et pour ceux qui pratiquent un peu moins mais qui ont quand même du coffre, quel tracé recommanderiez-vous ?
Le parcours de 50 kilomètres. On reste sur le Futuroscope. Je les emmène au plus près du Futuroscope. C’est un circuit où il y a plus de route, mais il y a des chemins sympas. Le début est dur car on reste sur les hauteurs, près de chez moi. On peut même voir le Futuroscope au loin depuis cet endroit. Après je les fais passer par le très beau Château Dissay pour finir par le Golf du Haut-Poitou, à Saint-Cyr, qui est un très beau golf réputé. Le parcours de 80 kilomètres en duo, si on veut le partager avec un pote ou une copine, ça peut être très sympa. Il y a 80 kilomètres mais peu de dénivelé. Là, on est en forêt, sur des terrains un peu plus sablonneux, poussiéreux, mais ça roule très bien. C’est facile à rouler, il y a trois ravitaillements.

Une fois le Festival Gravel Fever terminé, quelles sites ou visites dans la région conseilleriez-vous pour prolonger le week-end ?
Premièrement, l’office de tourisme de Châtellerault (rires). Il faut aller au Futuroscope. C’est un lieu qui parle, les gens savent de quoi on parle. C’est un très joli parc d’attractions basé sur les écrans, même si il y a aussi du dynamique. Je peux aussi citer le Château de Monts-sur-Guesnes qui a été refait. Là, c’est plus le côté historique. J’en parlais tout à l’heure mais il faut aller visiter Angles-sur-l’Anglin, un village vraiment beau. Tu as le spa du Château Dissay. Tu peux faire des tours de canoë, notamment à Angles-sur-l’Anglin. Tu pars d’un point A à un point B et tu peux faire quelques kilomètres. Les grottes troglodytes, que l’on approche au cours du parcours du 120 kilomètres, sont à visiter aussi, c’est sympa. Ce sont des maisons dans des grottes, c’est sympa. Je vais me vendre un peu, tu as le musée auto-vélo de Châtellerault. En plus, on est en train de faire 90 mètres carrés sur mon parcours professionnel. Nous sommes en train de mettre ça en place pour l’évènement. Ça va durer dans le temps. Ça regroupe tout ce que j’ai pu garder comme des médailles, comme coupes. Après si on reste sur le côté touristique, il y a Chauvigny. Cette ville a été ville départ d’une étape du Tour de France il y a trois ans. Il y avait un spectacle d’aigles tout ça. J’y étais, j’étais ambassadeur ASO là-bas ce jour-là. J’ai cité La Roche-Posay… Il y a toujours des trucs à faire.

« Chez moi, tous est dans les cartons, c’est dommage »

Pouvez-vous nous en dire davantage sur cette exposition Sylvain Chavanel ?
Il y aura des vélos, des maillots, des chaussures, des dossards, des médailles mondiales, des médailles de champion de France et puis des archives de presse. Il y a 90 mètres carrés, c’est pas mal. Un pincement au cœur ? Non, mais je suis content d’ouvrir ça aux gens. Ça peut être pour les gens du coin mais aussi ceux de l’extérieur. On a trouvé un accord là-dessus. Je suis content de faire profiter de ça aux personnes. Comme ça, on va en plus se rendre compte de l’évolution depuis les années 2 000, notamment en termes de matériels, d’équipements. Ça évolue, ça évolue, les années passent et on ne s’en rend pas compte.

Est-ce qu’il s’agira d’une exposition temporaire ?
C’est prévu jusqu’en 2026 mais je pense que c’est quelque chose qui restera. Chez moi, il n’y a rien qui indique que j’étais cycliste. J’ai gardé plein de choses, mais je ne mets rien en avant. Tout est dans les cartons et c’est dommage.

Comment est née cette idée d’en faire profiter au public ?
C’est par rapport à mon président de club amateur aussi. C’était dans les discussions. On a eu un rendez-vous au musée et on a trouvé un accord là-dessus. Je lui ai montré mes vitrines car j’en ai quelques unes à la maison et voilà. Je lui disais que ça serait bien d’avoir ça dans le musée auto-vélo de Châtellerault. Avoir un champion qui fait 19 ans chez les professionnels et notamment 18 Tours de France, c’est pas demain la veille qu’il y en aura un autre. Je suis content, car il y a des jeunes derrière qui arrivent. Après, est-ce qu’ils vont faire la même carrière aussi longtemps et aussi qualitative ? Je ne sais pas.

Avez-vous participé à la manière dont cela sera présenté ?
Pour l’instant, c’est encore dans les cartons. Ce ne sera qu’à partir de début octobre que tout va démarrer. Je vais aider et donner mon avis.

D’autres champions ont-ils également exposé des choses dans ce musée avant que vous ne le fassiez  ?
Il y a plein de choses. Il y a des vélos de 1905 ou 1910. Mais il n’y a pas forcément de champions, en dehors d’Émile Georget, qui a fait le Tour de France. Sa famille a laissé quelques affaires. C’est un peu plus vieux que moi pour le coup. Et lui, il est décédé, alors que moi je suis encore vivant (rires). Et puis ce n’étaient pas les mêmes vélos. Il n’était pas connu comme moi j’ai pu l’être. Il n’y avait pas la télé.

La finalité de cyclocolombiers.org est de débattre de ASAC COLOMBIERS SECTION CYCLO VTT en toute authenticité en vous donnant la visibilité de tout ce qui est en lien avec ce thème sur le net Ce texte est reconstitué aussi exactement que possible. Si vous projetez d’apporter quelques modifications sur le thème « ASAC COLOMBIERS SECTION CYCLO VTT », vous avez la possibilité de d’échanger avec notre journaliste responsable. Ce dossier autour du sujet « ASAC COLOMBIERS SECTION CYCLO VTT » a été trié en ligne par les spécialistes de la rédaction de cyclocolombiers.org En consultant de manière régulière notre blog vous serez informé des futures parutions.

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